Ces plaisirs violents ont des fins violentes; Dans leurs excès ils meurent telle la poudre et le feu, Que leur baiser consume. Sans aucun doute l’une des plus citations que le monde humain peut offrir aux hommes. William Shakespeare, fut sans aucun doute l’un des hommes les plus brillants que le monde eu connus bien que les auteurs furent nombreux dans les dernières décennies ; je pouvais sans aucun doute citer Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Eluard et bien d’autre qui faisait mon quotidien. Et ce matin ce fut Shakespeare étudiant chacune des copies faites sur « Roméo et Juliette », il faut savoir que William Shakespeare, né probablement le 23 avril 1564, baptisé le mercredi 26 avril 1564 en l'église de la Sainte-Trinité de Stratford, mort le 23 avril 1616 (52 ans) est considéré comme l'un des plus grands poètes, dramaturges et écrivains de la culture anglaise. Il est réputé pour sa maîtrise des formes poétiques et littéraires ; sa capacité à représenter les aspects de la nature humaine est souvent mise en avant par ses amateurs. Au passage, je suis professeur de littérature et philosophie. Ce matin dans le fond de mon bureau, je corrigeais les copies de mes élèves de terminale ES, bien moi bon que les L dans ce domaine mais parfois j’admirais leurs écrits et leur façon de penser. C’était un sujet libre parler de « Roméo et Juliette » et offrir son avis dans un monde meilleure. Une simple histoire inspirée d’un conte italien de Masuccio de Salerne ; une histoire d’amour comme le monde n’en fait plus, deux jeunes gens vivant un amour tragique en raison de l'inimitié qui oppose leurs deux maisons. Mais au delà d’une histoire c’était l’amour de deux individus en lutte face aux conventions désuètes de deux familles – Camille – Je le savais pourtant – n’y pense plus – je devais cesser de penser à elle, notre divorce, ses yeux, sa façon de me sourire mais surtout la douceur de sa peau un matin d’hiver. Non je ne suis pas faible, je suis amoureux, mais pourtant j’avais choisis stupidement de fuir, baissant les bras après quelques problèmes. Je fus sans aucun doute l’homme le plus ridicule du monde, mais après quelques instants de réflexion ce fut sans doute le meilleur à faire.

- mon pauvre Edwin tu es ridicule – parfois il m’arrivait de me dire que j’étais simplement perdu dans un monde fort étrange. Mais Fell’s Church avait ce coté encore plus mystérieux que Londres, et cette ville était aussi plus calme et apaisante. C’était un plaisir de vivre ici réellement. Ce soir je découvrais enfin je redécouvrais un endroit que je trouvais fort agréable, le mystic grill. C’était l’un des bars far de la ville, fréquenté par des jeunes comme par la population de Fell Church. J’y entrais, mon regard comme toujours parcourant la pièce entière. Il se déposa sur ma place habituelle au fond à gauche prés du billard dans l’ombre, mais cette fois elle fut occupée par une jeune femme blonde. Instinctivement, je rejoignis le bar, ou la jeune serveuse blonde, d’après mes souvenirs « Samantha » si j’en avais cru les dires de son patron ‘ Andrew » me semble t’il.

« Le respect des jeunes se fait de plus en plus rares de nos jours » je lui affichais un sourire poli et sincère « un sotch s’il vous plait »

Ne soyez pas si pressée de croire tout ce qu'on vous raconte... Si vous vous efforcez de tout croire... vous deviendrez incapable de croire les vérités les plus simples. «A quoi peut servir un livre sans images ni dialogues?» se demandait Alice. «Tut, tut, ma petite, dit la duchesse, tout a une morale si l'on cherche bien.» LEWIS CARROL