Surnom : Meg
Date de naissance : 15 Septembre 1950
Lieu de naissance : Londres
Origines : Anglaise
Groupes : I live in the darkness
Études : Étudiante en Droit des Affaires
Régime alimentaire : Sang Humain
Caractère : Impulsive, susceptible, rancunière et manipulatrice. Voila les trois points essentiels à savoir sur Megara, c’est ceux-ci qui la pousse le plus souvent à agir vicieusement. Œil pour œil et dent pour dent. Cette phrase n’a jamais été aussi censée pour la demoiselle. Elle pardonne mais n’oublie jamais, tôt ou tard elle fera payer. La vengeance est un plat qui se mange froid. Pris par ces instincts là et ses désirs, Megara ne se rend compte la plupart du temps de ce qu’elle fait. C’est une fois ces actes commis, qu’elle réalise. On apprend de ses erreurs, la jeune fille en a fait mainte fois l’expérience. Elle reste néanmoins une femme sensible et remplit de sentiments qu’elle garde au fond d’elle, jouant la « sans cœur ».
Statut Matrimoniale : En couple depuis 45 ans avec Dorian J. Oxkaldwell
Particularité : Megara possède une tache de naissance à l'aine droite qui peut ressembler à un coeur si on fait vraiment attention. Elle en a assez honte et le cache avec du fond de teint. La jeune demoiselle a également un petit grain de beauté sur le haut de la poitrine. Ce sont ces petits points particuliers qui font d’elle une sorte de femme fatale.

Ton plat favoris : Le sang de vierge
Ta fleur favorite : La rose noir
Ta couleur favorite : Noir et rouge
Ton porte bonheur : Un pendentif qu'elle ne retire jamais
Ton désert favoris : Le sang de bébé
Ta chanson favorite : Beautiful Lie - 30 Seconds to Mars
Ton livre favoris : Lestat le Vampire - Anne Rice
Ton hobby : Lire
Ton film favoris : Le Seigneur des Anneaux (Trilogie)
Un rituel, une habitude : Passe sans cesse sa langue sur ses lèvres
Un secret : De nombreux sentiments qu'elle n'avouera jamais
Un look :

Pseudo sur le net : Tourniquet
Ton age : 16 ans
Ton pays : France
Libre arbitre : Tu mets ce que tu veux sur toi en quelques lignes !
Une Suggestion ? Pas pour le moment
Une question ? Pas pour l'instant
Comment as-tu connus le forum ? Avec un de vos partenaires
Veux-tu un parrain ? Pourquoi pas
Code du règlement/contexte : Oki by Lily !

« Dear Diary,

Cela fait des mois que je travaille avec les vaches de Mme Rowling, notre voisine, pour pouvoir t’acheter. Je t’ai vu dans la vitrine d’accessoires de bureau d’Omathin quand je passais devant pour aller à l’école et je dois te dire, que tu m’as attiré. Ton habillage en cuir marron est si brillant. Mais vu que tu ne me connais pas, je vais me présenter car je suis quelqu’un de poli. Je m’appelle Megara Julia Midnight et j’ai eu 7 ans le 15 septembre. Je suis née par une froide nuit d’orage, à croire que Dieu ne m’aimait pas tellement. Et je dirai que ce n’est pas le seul… Tu sais, Maman et Papa n’ont pas l’air de tellement m’aimer eux non plus. Ils m’ont installé dans le grenier pour laisser mon ancienne chambre comme bureau pour mon Papa. Certes, ce n’est pas aussi confortable, le plancher grince, il y a des toiles d’araignées dans les coins et pas beaucoup d’espace pour mes poupées. Mais je suis vraiment contente de lui faire plaisir même s’il ne m’adresse pas un seul regard.

Pour mon anniversaire de cette année, mes parents m’ont offert un beau stylo, c’est celui avec lequel je t’écris d’ailleurs. Seulement, ils n’ont pas voulu que je le fête avec mes copines de ma classe. Du coup, je l’ai passé toute seule. Je me demande parfois s’ils me voulaient vraiment. Maman, quand je fais des bêtises, comme prendre un gâteau sur la table, me dit qu’elle n’aurait jamais du écouter mon père et qu’elle aurait du avorter. J’ignore ce que « avorter » veut dire. Tu le sais toi ? En tout cas, je sais que Papa aurait voulu que je sois un garçon. Il m’a dit plusieurs choses qui le confirme comme « si tu aurais été un garçon, j’aurai pu t’expliquer » ou alors « ce n’est pas un sport de fille, va aider ta mère en cuisine » et j’en passe.

Ah, Papa m’appelle, je dois te laisser. Je crois qu’il veut me faire un câlin, tout nu, comme la semaine dernière. Il m’a dit que c’était parce qu’il avait froid, qu’il m’aimait vraiment beaucoup et qu’il voulait me le montrer. Peut être que j’ai eu tord finalement, Papa et Maman m’aime fort. Après tout, je suis leur seul enfant. J’aimerai bien avoir une petite sœur. Voir Papa et Maman mettre la graine dans une fleur du jardin.

Oh ! Papa commence à être en colère. Je dois vraiment y aller maintenant, je t’écrirai à nouveau demain soir quand je serai tranquille devant ma fenêtre. Je t’aime mon Journal. »

« Dear Diary,

Il m’est arrivé une chose totalement incroyable et que je n’arrive toujours pas à expliquer clairement. J’espère que tu vas me comprendre…

15 septembre, c’était mon anniversaire. J’ai eu 19 ans. Alors que ma mère, soit disant partie chez une amie, était entrain de prendre du plaisir avec le secrétaire de mon père et que lui, trop occupé à vider les bouteilles du bar dans le salon, finirait par entrer dans ma chambre complètement ivre mort pour abuser de moi comme il le fait depuis mes 7 ans, j’ai décidé de partir. Je n’en pouvais plus de passer une fois de plus ce jour si spécial à mes yeux toute seule et de rester sur mon toit à regarder les étoiles de cette nuit là. J’ai donc pris les billets qui se trouvaient dans le pot à cookie, caché derrière les baguettes de pain, au dessus du frigo et j’ai pris mon sac de cours, le vidant complètement, pour le remplir de mes affaires. J’étais bien décidé à partir. J’étais sortie discrètement par ma fenêtre, mon sac sur le dos, et j’ai sauté pour me rattraper aux branches de l’arbre qui trônait devant. J’ai marché jusqu’au centre ville et j’ai pris un taxi pour m’emmener le plus loin possible. Je lui ai demandé de m’amener à Oxford, là où j’étais sure d’être tranquille. Par la suite, je suis rentrée dans un motel assez miteux mais qui était dans mes moyens financiers. Vu que c’était mon anniversaire, j’ai passé ma soirée au bar d’en face, le Fangtasia. Je ne me souviens plus très bien du reste de ma soirée. Je sais qu’un homme a bu en ma compagnie et a accepté de m’offrir mes consommations. Je crois que j’étais ivre. Non, j’étais ivre c’est sur. Le reste est flou. Je me souviens de cette douleur atroce qui me rongé de l’intérieur, ces hurlements qui sortaient de ma gorge malgré qu’ils soient étouffé par une main. Ma tête était lourde et mon souffle se faisait de plus en plus faible. Je me suis endormie.

Je viens de me réveiller maintenant et j’ai découvert sur l’oreille un mot. « Commence une nouvelle vie, qui je te le souhaite, sera meilleure que l’ancienne. Profite de ton éternité. A bientôt Meg. » Je en sais pas ce qu’il m’arrive. J’ai cette soudaine envie qui monte et mon nez qui s’empresse de chercher une saveur bien particulière que je n’arrive à définir. Mon ventre m’appelle :

J’ai faim. »

Dear Diary,

J’ai encore fait une chose totalement absurde. Mais je dirais pour ma défense que... Et bien… C’est venu du plus profond de mon cœur.

Hier soir, j’étais à une fête qu’organisait un étudiant. Je passai ma soirée avec un verre à la main, assise au bar, regardant et observant toutes les personnes qui entrait, sortait, dansait, draguait et vomissait même. Mais un homme en particulier à éveillé ma curiosité. Grand, brun, musclé, une allure affirmée, un côté dragueur et des yeux qui en faisaient tomber plus d’une. Et je dois l’avouer, ses yeux m’ont aussi fait chavirer. Lorsque j’ai réussi à capter son regard, c’est comme si le monde autour de nous avez disparu et que la terre entière c’était arrêté de tourner. Il avait un regard transperçant qui m’a totalement désarmé. Est-ce possible venant d’une personne sans âme ? Nous nous sommes rapproché, nous avons discuté, déliré et j’avoue, flirté aussi. Après plusieurs heures passées en sa compagnie, nous avons passé la nuit ensemble. Je me rappelle de mes doigts frôler son épaule, découvrant sa tache de naissance semblable à une mâchoire de lion. Prise par l’émerveillement, par la douceur, par l’angoisse et d’autres sentiments nouveaux, je l’ai mordu.

Il est encore à côté de moi, endormi. Je tente de le rassurer et de le calmer quand ses hurlements et la douleur se font ressentir. Je ne sais vraiment pas ce qu’il m’a prit. J’avais gouté au bonheur et je ne voulais pas que ça s’arrête maintenant.