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 Chante, chante jusqu'à ton dernier souffle... {Libre}

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Aurélia J. Dorlez

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MessageSujet: Chante, chante jusqu'à ton dernier souffle... {Libre}   Chante, chante jusqu'à ton dernier souffle... {Libre} Icon_minitimeMar 13 Avr - 18:01

Aujourd'hui était comme tous les autres aujourd'hui un aujourd'hui ou je me faisais royallement chier... Comme tous les jours ma journée commençait à sept heure lorsque l'objet extremmement désagréable et énervant qui n'avait sa place qu'encastré sur le mur sonna. Cet objet qui émmetait tous les matins à la même heure ce bruit stridant qui me sortais des bras de morphé s'appellait un réveil. C'était chiant un réveil... Et puis pour un vampire ça servait à rien je me demandais d'ailleur pourquoi j'en avais un.. Beuh cela restait mystère. L'énigme du réveil mystérieux... Episode un! Comme d'habitude le réveil fit un vol plané avant d'attérir contre un mur dans un grand bruit. Puis je me levai tranquillement me relevant avant de sortir mes jambes du lit puis je me levai complètement. J'avais légèrement la tête dans le cul ce matin, surrement à cause du fait que j'avais passé la soirée en boite... Heureusement pour moi que je ne me suis pas retrouvée avec une belle gueule de bois. Après s'être levée comme d'habitude direction la salle de bain, une longue et bonne douche se profilait à l'horizon mais celle çi fut interrompue par un appel. Maudissant celui qui osait me déranger j'enfilais un peignoir et récupérai le téléphone. A l'autre bout du fil. Personne. Arg.... J'allais tuer quelqu'un, ça faisais quatre fois que quelqu'un m'appellait sans répondre lorsque je décrochais. Enfin bref, il ne fallait pas que je m'énerve. Bon ou en étais je avant de me faire interrompre, ah oui j'étais en peignoir. Bon ben un décaféiné avec deux sucrettes et demi de soja bien chaud pour bien se réveiller. Si par malheur je n'avais pas mon café le matin j'étais automatiquement de mauvaise humeur et c'était pas cool...Lorsque j'eus finis mon déca je remontai à l'étage en chantonnant un air d'une chanson que je ne me souvenais pas, bizarrement, avoir entendu un jour, étrange... Mais bon, un truc en plus ou en moins d'étrange c'était pas très grave à coté des énormités de ma vie en temps que mi vampire mi deesse... J'étais arrivée en haut des escaliers, j'eus un léger moment d'hésitation, je ne savais ou aller, puis je me souvins que je devais aller à l'université, j'avais réussis à oublier que je devais y aller alors que j'habitais sur le campus... Comme je devais y aller, je devais m'habiller. Bravo j'suis trop forte... J'avais réussis à oublier ou était mon dressing... Lorque je l'eus retrouvé je ne pris même pas la peine de chercher pendant des heures comment m'habiller, je pris les choses au hasard dans une penderie, je savais que même si je n'étais pas assortie je serais quand même à croquer... Lorsque je m'observai dans le miroir, le reflet que celui çi m'envoya était celui d'une jeune fille à la peau pale et au bleus vétue d'une belle robe rouge assez sophistiquée, surrement pour certains, trop pour aller au lycée mais pas pour moi, qu'est ce que vous croyiez? J'aime pas être habillée comme toutes les autres filles, fallait que je sorte du lot et j'étais sure que même si j'étais habillée en clocharde, ce qui n'arriverait jamais, j'aurais tout de même droit à des sifflements appréciateurs... Mais bon ce n'était pas une raison pour m'habiller en clocharde tout de même. Me regardant une dernière fois dans la glace je fis un petit sourire à mon reflet avant d'aller coiffer mes longs et soyeux cheveux qui lorsqu'ils étaient coiffés tombaient en cascade de satin sur mes épaules. Lorsque j'eus atteinds ce résultat je mis un trait de crayon autours de mes yeux et un peu de mascara pour intensifier l'effet "yeux de biche". Puis je pris un bloc note et un stylo qui serviraient accéssoirement et fourrant tout ça dans mon sac je me dirigeai d'une démarche gracieuse vers l'université, mais avant je me regardais dans le miroir, remettant une dernière fois mes cheveux en place. Les talons de mes escarpins ne claquaient presque pas dans les couloirs lorsque je me dépéchais de rentrer en classe afin de ne pas être en retard. Enfin ne pas être plus en retard que je ne l'étais déjà puisque j'avais dus faire demi tours lorsque j'avais remarqué que j'avais oublié mon portable... Qu'elle idiote... Bon bref dès l'instant ou j'ai ouvert la porte j'ai sentis un gros blanc s'installer dans la salle, ce n'était pas la première fois que je venais avec cette classe mais ils n'étaient pas encore habitués et étaient tous bouche bée, ne me présentant même pas j'allais prendre ma place habituelle au fond de la classe. Là bas je posai mon sac sur la table avant de m'asseoir et de croiser les jambes puis de m'appuyer contre le mur prète à supporter deux longues heures de cours. Ma journée se déroulla comme ça, rythmée entre les cours ennuyeux et la voix des élèves qui venaient me voir. Lorsque ma matinée de cours fut finie je récupérai mes affaires et me dirigeai rapidement vers l'amphitéatre, plus exactement la salle de musique. Cela faisait longtemps que je n'avais pas chanté et j'en avais une envie folle. Alors après avoir vérifié qu'il n'y avait personne je posai mon sac et m'assis devant le piano. Je l'ouvris et commençais à faire glisser mes doigts sur les touches blanches d'ivoire avant d'entonner la mélodie d'une de mes chansons préférées, lorsque je fus bien dans le rythme je commençais à chanter d'une voix douce et mielleuse...


Dernière édition par Aurélia J. Dorlez le Mar 13 Avr - 20:15, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Chante, chante jusqu'à ton dernier souffle... {Libre}   Chante, chante jusqu'à ton dernier souffle... {Libre} Icon_minitimeVen 16 Avr - 16:45

    1798

    C’est un jour de plus dans un monde pleins de superficie et de loi totalement stupide et bien trop fantaisiste pour moi. J’avais dix huit ans et je ne supportais déjà plus ce monde dans lequel je vivais. Bien dès gens se disait qu’être une duchesse dans ce monde était sans aucun doute le bonheur absolu, tout les privilèges étaient la pour satisfaire les envies. Et le peuple se contentait d’obéir à des gens comme mes parents. Le duc et la duchesse d’Anderson posséder à eux seul plus de la moitié des terres de Paris. Ils étaient connus comme des gens exigeant, bons par moment, riche et d’une grande élégance. Mon père bien qu’il fut un homme adorable était étrange, un peu mystérieux et dur avec les gens qui n’étaient pas comme lui. Quand à leur fille, ma personne ce n’était rien d’autre qu’une timide beauté. Chaque ne voyait en moins qu’une chose, une femme et encore les femmes étaient traiter comme des espèces stupide qui n’était au fond bonne à rien. Je passais chacune de mes soirées dans les plus beaux châteaux et ou en compagnie de Louis XIV, un homme bien ennuyeux et sans grande intérêt à mes yeux. Ce soir avaient lui une de ces grandes réceptions. Qui n’était en outre rien d’autre qu’un repas futile. J’avais passé la journée en compagnie de Charles, un homme ordinaire se trouvait être celui que mon cœur eu choisit ; mais comment expliquer à ma famille que je ne souhaitais pas épouser l’homme riche qu’il m’aurait choisit. Ce serait sans aucun doute leur plus grande déception. Moi je devais me contenter de dire « Oui mère », mais cette journée avec lui fut fabuleuse, même si j’ignorais encore tout sur sa vrai nature, il était capable de me montrer ce que je désirais. A coté de toute cette magie cette soirée fut d’un ennuie profond. A mon grand plaisir, elle se termina plus vite que de réalité, et rentrer dans ce manoir était plus que fabuleux enfin du moins je le croyais.

    Duchesse Anderson : Jelina très chère, votre père et moi avons très bien discuter avec ton père et il s’en ai décidé que vous épouserait Lord Nicolas … Vous pouvez disposer.

    2010.

    Le dégout et la haine, c’était exactement ce que je ressentais assise devant la tombe de mes parents, ils n’avaient jamais compris ce qu’il me fallait pour être heureuse, mais ils avaient juste choisi de respecter les coutumes stupides. Ce fut une des raisons, qui me posèrent à devenir celle que j’étais aujourd’hui, sanguinaire, cruelle et froide. Je voyais leur nom : Katherine Anderson, William Anderson et leur fille Jelina. Tout le monde pensait à ma mort il y a bien des années, dans une de ces stupides révolution et pourtant j’étais bien la. Les livres ne sont décidément plus ce qu’il était. Une brume glaciale pour les humains, bien que moi je ne sentais que peut de choses. Je voyais du haut de mon arbre tout ces âmes tristes et sombres devant les tombes de leur famille ou ami, cela me rappelait que jamais je n’avais étais sur la tombe de mes parents et la mienne. Il y avait au fond caché dans la brume cet homme, une quarantaine d’année sans doute.

    Jewel = Vous semblez bien triste, ce n’est pas simple de ce sentir seul n’est ce pas ?
    L’homme = Oui, ma femme, j’ai tout perdu, je n’ai plus rien désormais.
    Jewel = Oh je suis désolée
    L’homme = Ne vous en faites pas …
    Jewel = Je ne parlais pas de ça

    Suite à ces quelques mots et regards je lui sautais d’un geste naturel à la gorge. Aspirant son sang jusqu'à épuisement. Quand la mort frôla ses yeux, je me contentais de partir, laissant son corps dans l’ombre de la brume. D’un geste rapide et vif je fonçais à travers les bois pour un endroit ou une destination qui me semblait encore inconnu, je me contentais de marcher cherchant une nouvelle proie. Tout ça fini par me déposer devant l’université, c’était un endroit plein de petit étudiant fragile et en quête de sentiments et de sensation inconnu. Le plaisir et le sang frais. En marchant à travers les salles, je tombais sur une mélodie inconnu venant de l’amphithéâtre, une jolie voix et du bon sang du moins presque. Je me glissais sur une chaise au fond de la salle, reconnaissant parfaitement la personne qui se trouvait à quelques mètres.

    Ma douce Aurélia, je peux te dire que ta voix n’est pas une des choses que j’ai pu te transmettre
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Aurélia J. Dorlez

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MessageSujet: Re: Chante, chante jusqu'à ton dernier souffle... {Libre}   Chante, chante jusqu'à ton dernier souffle... {Libre} Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:40

    Je me laissais emporter par la douce mélodie et continuais à chanter. Les paroles sortait comme si elles étaient gravées à l'intérieur de moi, je les connaissais par coeur, j'adorais cette chanson, c'était moi qui l'avait écrite et le rythme était vraiment entrainant. Je fermai les yeux et continuai à faire glisser mes doigts sur les touches d'ivoires. C'était un des rares moments ou j'étais vraiment calme et détendue, je pouvais penser à des choses auxquelles je n'aurais jamais pensé habituellement. Pour une des seules fois depuis plusieurs années je pensai à mes parents, ma mère, la deesse Aphrodite... Ben ouais, vous savez maintenant pourquoi je suis d'une beauté magnifique... Et puis, mon père, c'est à lui à qui je pensais exactement et le plus souvent, brrr, il me faisait froid dans le dos, je n'avais pas souvent eus l'occasion de le voir, enfin juste une seule fois pour être exacte...

    FLASH-BACK

    Une légère brume flottant non près du sol dur et gelé par la neige fraichement tombée. La neige crisant sous les pas d'une petite fille emmitouflée dans un ensemble noir, ainsi qu'une paire de mouffles, une longue écharpe qui trainait presque par terre et un bonnet qui lui tombait presque sur les yeux. Ses bottes pleines de neiges devait lui être légèrement trop grandes car elle trébuchait tous les cinq ou six pas. Elle avait l'air frigorifiée, des larmes coullaient sur ses joues et se transformaient presque en cristaux de glace. Cette petite fille devait avoir sept ou huit ans tout au plus mais sa maigreur apparente et le fait qu'elle était vraiment petite ne lui en donnaient que cinq ou six... Malgré son apparence désolée et fragile elle marchait d'un pas décidé vers... Un cimetière abandonné... Pourquoi donc une petite fille irait elle dans un cimetière en pleine nuit? Personne ne le savait, et même, personne n'était là pour chercher à le savoir... Etrange certes mais cette nuit là, appart cette petite fille livrée à elle même, personne n'était dans les rues... La brume s'intensifiait au fur et à mesure que les pas de la petite fille la rapprochait du cimetière. Arrivant devant la grille elle ne prit même pas la peine de l'ouvrir et passait par dessus. Atterrissant agilement de l'autre coté elle s'arreta devant une tombe et attendit. Peut être quelques minutes ou peut être une heure, le temps n'était pas important, la lune avait stoppé sa course dans le ciel et restai suspendue aux allentours de minuit. Soudain à travers la brume on distinguai une silhouette, assez massive et grande qui se déplaçait gracieusement vers la petite fille. Celle çi restant droite et fière ne recullait pas et n'esquisait pas un geste. L'homme s'approcha pour venir s'agenouiller au niveau de la fillette avant de dire d'une voix douce et effrayante à la fois:

    "Aurélia... Cela fait si longtemps que je te cherche... Maintenant que je t'ai trouvé nous allons pouvoir recommencer la vie à zéro. Aurélia, regardes moi! Je suis ton père (Luc! Je suis ton père! //SBAF//)"

    Aurélia plantant un regard sévère dans celui de "son père" répondit d'une voix dédaigneuse et désagréable pour celui qui était visé qui l'ettona elle même:

    Non tu n'es pas mon père! Je n'ai pas de père! Tu ments!

    Le regard de l'homme se glaça et il émit une sorte de grognement étrange et dévoila des canines démesurément grandes et aiguisées. Nullement impressionnée Aurélia reprit parfaitement calme sans pour autant être super détendue.... Elle était face à un vampire en colère quand même c'était pas génial... Et c'était dangereux...

    Tu ne va pas me faire de mal... Tu ne me feras jamais de mal! Parce que quoi que je dise tu me considère comme ta fille et un bon père ne fait pas de mal à sa fille

    En disant ça elle avait planté un regard hypnotique dans celui du vampire. Cela pouvait marcher mais ce n'était pas sur, et si ça marchait pas elle était vraiment mal... Et vraiment morte aussi. Mais bon, elle eut de la chance et ça marcha du moins assez longtemps pour qu'elle puisse rebrousser chemin en courant jusqu'à "chez elle".

    FIN DU FLASH-BACK

    Je revenais au temps présent et esquisai un petit sourire, j'avais vraiment eut chaud ce jour là. Si mon don naissant n'avait pas marcher je serais soit morte, soit un vrai vampire sanguinaire... Enfin bref, c'était du passé et depuis je n'avais plus revus mon père une seule fois, et cela ne me génait pas plus que ça... Je vivais très bien comme j'étais, sans mes parents et ce n'était pas maintenant que cela allait changer. Deplus j'avais une tante, Jewel. La soeur de mon père, que j'appréciais beaucoup plus que lui d'ailleur... Ah en parlant du loup, enfin du vampire, elle me tuerait si je disais qu'elle était un loup, j'entendis sa voix s'élever dans l'amphithéatre. Esquisant un autre sourire j'arretai de jouer et me retournai vers l'endroit d'où provenait la voix.

    Jewel! Comment vas tu?

    Demandais je en m'approchant d'elle de ma démarche dansante.
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MessageSujet: Re: Chante, chante jusqu'à ton dernier souffle... {Libre}   Chante, chante jusqu'à ton dernier souffle... {Libre} Icon_minitimeSam 24 Avr - 21:55

    Etre si âgée par rapport à la normalité des gens m’eu appris au moins une chose que les gens mentent. Il est vrai que jamais pris une sorte de plaisir à les écoutaient parler de ma mort à Paris, de ce qu’il disait sur la femme que j’étais et les choses que je représentais. Les gens avaient dit des choses sympathiques « elle était jolie », « elle faisait preuve de bonté dans le monde », d’autre en revanche semblait bien content de ma soudaine disparition. Et mes parents eux n’avaient absolument rien montré, ni larmes, ni discutions sur moi, je n’avais plus jamais entendu mon nom après le soir de disparition.

    L'homme qu'elle drôle de machine. Tellement complexe à la fois indécis et machiavélique. Je ne comprenais pas cela. C’est ainsi que je voyais l’espèce humaine, fausse et méchante. L’erreur est humaine à écrit un grand homme, je dirais plutôt que l’erreur est la cause d’un comportement voulu, nous sommes tous les maîtres de notre corps et chaque gestes et actes est pertinemment voulu. Alors l’erreur humaine est une pure invention pour faire passé l’homme pour quelqu’un civiliser alors qu’au fond il est un animal peut être différent, utilisant des pratiques culturel alors que l’animal reste dans le naturel mais comme lui il n’a aucune pitié pour sa proie et il est stupide. L’humanité, il y avait tellement peu d’humain capable de compassion envers quelqu’un d’autre, combien était sincère ? Combien ne mentaient pas sur leurs sentiments ? La franchise, peut de personnes en sont réellement capable et c’est quelques personnes peuvent être fière d’être humain. Je haïssais l’espèce humaine à ce moment, pourtant différent de mon comportement habituelle mais la souffrance me changeais, je ne voulais plus y croire en tout ces ryes humain. Les mensonges hanté nos vies, glacés nos journées et faisait du monde un endroit sombre, et au delà de ce qui fut sombre il y avait moi, vampire.

    L’unique personne dont j’entendu un mot me concernant sortir de sa bouche fut mon frère, bien que lui et moi ne soyons pas si proche que cela. Mais il avait bouleversée mon être en une seconde, puis il avait fait sa vie. J’appris quelques temps après il avait trouvé une femme dont j’ignorais totalement la raison, et il avait eu une fille, et cette fille était aujourd’hui devant moi, ma petite nièce, c’était en réalité le seul lien avec tout ce que j’avais auparavant. Et encore plus quand j’avais appris son petit coté sadique et cruel comme moi.

    « Plutôt de bonne humeur et toi ? »

    Je devais avouer qu’elle me faisait rire avec sa démarche dansante et son petit air de chaton. Ou plutôt une jolie tigresse.

    « Une jolie voix, tu dois surement tenir ça de ta vieille tante – quel modestie me diras-tu – dis je me demandais parfois, ton père, mon frère, il parlait de moi ? et de notre famille »

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MessageSujet: Re: Chante, chante jusqu'à ton dernier souffle... {Libre}   Chante, chante jusqu'à ton dernier souffle... {Libre} Icon_minitime

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