Je n'avais jamais ressentie sa auparavant, cette sensation d' adrénaline qui m'étais venue d'un coup. La première fois que quelque chose m'attire en pleine nuit. Un cris avait suffit pour que je me lève en cette nuit noir et sombre que Fells Church recevait ce soir la. Une brume saisissait le campus, tout était sombre et effrayant mais rien n'aurait pu m'arrêtais a cette instant précis. J'enfilais un peignoir par dessus mon short et mon débardeur et m'avança dans le couloir, vers la chambre 218.

J'étais la chambre 216, ce cris avait pénétrée ma porte comme si quelqu'un l'avait crier de ma propre chambre. Je m'avançais dans cette allées, ce couloir sombre, froid et frustrant. J'étais alors seule dans ce couloir, une ou deux personnes était plantée devant cette chambre. Le couloir ne m'avait jamais parue aussi long de toute ma vie, je n'avais pourtant que deux cent mètres a faire mais ce fut les plus horrible de ma vie. Une impression de peur, me guetter comme si quelqu'un me suivait mais l'adrénaline avis pris le dessus sur ma personne et rien ne pouvait me faire changer d'avis et m'obliger a faire demi-tour. J'y arrivais enfin, devant la porte, trois personne dont moi, personne n'avait entendue cette voie auparavant et pour dire vrai, pour notre part, nous les trois étudiant devant la porte, c'était la première fois que nous entendions une personne habitant dans cette chambre. Toute le campus, enfin surtout nous trois, on nous avait dit que personne n'y habitait et qu'il valait mieux que personne n'y mette les pieds.

Un vent glacial entrait par les fenêtre qui venait de s'ouvrir tout seule, comme une tempête, un mauvais pressage, exactement le même que dans les films d'horreur. Nous étions tétaniser surtout moi pour ma part, l'adrénaline était désormais partie et je n'avais qu'une hâte que tout cela se termine. Je m'assis par terre, mon corps dur comme le marbre m'empêcher de bouger pour aller rejoindre ma chambre. Seul, dans ce couloir, les deux autres personnes était rentrée dans leur chambre; de nouvelles personnes arrivaient alors dans ce hall, devant cette portes mais la peur m'envahissait toujours. Je ne savais que faire, mon esprit était devenue complètement vide, tétaniser comme jamais. J'étais assise dans un couloir, devant une porte inconnue auparavant, que personne ne connaissait avec une femme ou une jeune femme a l'intérieur, qui devait souffrir vit a vit de ces cris. Un dernier cris se poussait puis un silence froid et glacial se mit en place. La bande d'étudiant qui venait de me rejoindre repartie aussi tôt mais je ne pouvais pas bouger, je restais la, avec l'espoir que quelqu'un m'aide a me lever, m'accompagne jusqu'à ma chambre ou reste ici avec moi, jusqu'au lendemain matin. Le silence était de plus en plus pesant et la peur de plus en plus forte ( ...)